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Droit des libertés fondamentales et droits humains
Droit des libertés fondamentales et droits humains
Stéphanie Hennette-Vauchez • Diane Roman
Cet ouvrage a pour ambition de présenter de façon accessible un état des lieux des règles juridiques et de la réflexion doctrinale sur le droit des libertés fondamentales et les droits humains. Les droits de l’Homme ne sont pas qu’un ensemble de règles visant à protéger la liberté, l’autonomie et l’intimité ou à garantir l’égalité de tous les êtres humains. Ils sont aussi un projet intellectuel, qui s’inscrit dans l’histoire et la philosophie politique et juridique. De tonalité moderne, cet ouvrage analyse précisément l’ensemble des questions contemporaines relatives aux droits des humains : influence du droit international et européen ; rôle du législateur et du juge dans la protection des droits et libertés ; lutte contre le terrorisme ; liberté d’expression à l’heure d’internet ; enjeux actuels de la laïcité ou de la bioéthique ; parité et droits des femmes ; pauvreté et exclusion sociale ou encore droits des migrants. Un angle d’approche original, associant le droit comparé et la présentation de l’apport théorique de grands auteurs, est retenu pour décrire fidèlement le régime juridique des droits et libertés en France : ce double éclairage offre aux lecteurs les instruments pour une meilleure compréhension de l’état actuel du droit et ses perspectives d’évolution.
N° d'édition : 6
Collection : HyperCours
Parution : Mai 2025
Liquidation des successions 2025/2026
Liquidation des successions 2025/2026
Sophie Gonsard • Cyrille Auché • Nathalie Levillain • Alexandre Boiché
Les plus de cette 7e édition : - nouvelle partie sur la procédure et la succession - compétence du TJ ou président du TJ en matière de succession - appronfondissement des règles sur le partage judiciaire Et toujours - la déclaration de succession (aspects civils et fiscaux) - la succession internationale (avant et après les règlements européens) - plus de 350 tableaux de liquidation, 5 cas pratiques de synthèse, plusieurs index Maîtriser la technique des opérations de liquidation pour obtenir un résultat fiable, tel est l’objectif de cet ouvrage à destination des notaires, avocats, magistrats, comme des étudiants. Centré sur la seule pratique de la liquidation des successions, cet ouvrage accompagne le liquidateur à chaque étape : de l’ouverture de la succession et la détermination des successibles, à l’application des règles de la dévolution successorale légale ou de la succession volontaire, jusqu’aux opérations préalables (calcul de la quotité disponible, imputation des libéralités, réduction), à l’indivision et au partage successoraux (détermination de la masse à partager et répartition des lots). La perspective adoptée est résolument pratique et chaque étape de la liquidation est décrite à partir des textes qui la fondent, illustrée par de nombreux schémas, cas concrets, exemples chiffrés, points sur la fiscalité, et enrichie par des commentaires doctrinaux. Des cas pratiques de synthèse clôturent l’ouvrage.
N° d'édition : 7
Collection : Dalloz Référence
Parution : Avril 2025
Code des assurances, code de la mutualité 2025, annoté et commenté
Code des assurances, code de la mutualité 2025, annoté et commenté
Louis Perdrix • Céline Vivien
Les + de l’édition 2025 : - Richesse des annotations et des textes complémentaires; - Code de la mutualité inclus; - Inclus : le Code en ligne, enrichi, annoté et mis à jour en continu. Le code des assurances Dalloz comprend le code des assurances proprement dit, les textes indispensables à la compréhension de la matière, le code de la mutualité compte tenu de la proximité de la matière et des acteurs pour ce qui concerne les règles financières et la prévoyance. Il est complété de commentaires, d’annotations de jurisprudence constamment actualisées et de bibliographies approfondies. Il aborde également : - la responsabilité civile de droit commun, - la responsabilité des constructeurs, - les accidents de la circulation, - la protection des consommateurs, - la convention AERAS révisée, - l’intervention de l’assureur au procès pénal, - les recours des organismes sociaux, - l’indemnisation des victimes d’infractions, - les marchés publics, - les agents généraux, - les courtiers, - les assurances obligatoires. Cette 31e édition est à jour notamment : - du décret du 5 juillet 2024 relatif à la modernisation de l'univers d'investissement pour les contrats d'assurance vie, de capitalisation et les plans d'épargne retraite; - du décret du 18 juin 2024 encadrant les modalités d’informations dans le cadre de rachats d’unités de compte mentionnées à la dernière phrase du deuxième alinéa de l’article L. 132-5-4 du code des assurances; - de la loi du 13 juin 2024 visant à accroître le financement des entreprises et l'attractivité de la France; - du décret du 12 juin 2024 relatif aux conditions de valorisation et de rachat des unités de compte mentionnées à la dernière phrase du deuxième alinéa de l'article L. 132-5-4 du code des assurances; - du décret du 7 juin 2024 relatif aux règles de comptabilisation de la provision pour égalisation et régime financier du Fonds de garantie des assurances de dommages obligatoire; - de la loi du 21 mars 2024 sur le renforcement de la sécurité et la protection des maires et des élus locaux.
N° d'édition : 31
Collection : Codes Dalloz Professionnels
Parution : Avril 2025
Code de l'environnement 2025, annoté & commenté
Code de l'environnement 2025, annoté & commenté
Jessica Makowiak • Simon Jolivet • Chantal Cans • Edith Dejean
Les + de l'édition 2025  : - à jour des décrets d'application de la loi Industrie verte; - une jurisprudence constamment mise à jour des arrêts les plus récents relatifs, notamment, au contentieux climatique; - l'intégralité des listes d'espèces protégées sur le territoire métropolitain; - supplément en ligne inclus. Le code de l'environnement Dalloz comprend, outre la codification officielle, de nombreux textes indispensables à la compréhension d'un droit complexe et en constante évolution, rigoureusement à jour et réunis dans un Appendice. Cette édition est notamment à jour: - du décret du 14 juin 2024 transposant les révisions nécessaires à l'intégration du secteur maritime au système d'échange de quotas d'émissions de gaz à effet de serre; - des décrets d’application de la loi Industrie vertedes 5 et 6 juillet 2024 simplifiant certaines procédures environnementales; - du décret du 9 juillet 2024 réformant les redevances des agences de l'eau; - du décret du 4 septembre 2024 relatif à la mise en œuvre du fichier national du permis de chasser; - de l’arrêté du 24 octobre 2024 sur la redevance relative aux actions de communication pour la prévention des incendies de forêt. L’ouvrage propose également les décisions de jurisprudence les plus récentes en matière de contentieux climatique et de préjudice écologique …
N° d'édition : 28
Collection : Codes Dalloz Professionnels
Parution : Avril 2025
La personnalité juridique en droit pénal et en droit civil. Volume 241
La personnalité juridique en droit pénal et en droit civil. Volume 241
Eddy Accarion
La personnalité juridique est l’une des notions les plus fondamentales du Droit. Non moins pénale que civile, elle permet notamment de se réserver les biens, d’accomplir des actes juridiques, d’agir en justice et d’engager sa responsabilité. Elle pourvoit le Droit de ses sujets – et ce faisant, la scène juridique de ses acteurs. L’essence de la personnalité juridique est fréquemment décrite comme la capacité ou l’aptitude à être titulaire de droits et redevable d’obligations. Cette présentation est néanmoins insatisfaisante car techniquement imprécise. En effet, les droits et les obligations supportent chacun une dualité de nature rendant incongrue leur réunion sous l’égide d’un même vocable : certains droits sont des biens et d’autres, des prérogatives fondamentales ; certaines obligations naissent de l’activité juridique d’un propriétaire et d’autres, de faits juridiques infractionnels ou dommageables. Rénovée à la croisée du droit pénal et du droit civil, l’essence de la personnalité juridique peut être plus justement exprimée par la réunion de l’aptitude à la liberté et de l’aptitude à la responsabilité. D’une part, la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui n’est pas interdit. Elle comprend une aptitude à la propriété, qui confère une emprise exclusive sur les biens, en ce compris les droits réels et personnels, et une aptitude à la sûreté, qui modère par la reconnaissance de droits fondamentaux les contraintes susceptibles d’être édictées par l’État. D’autre part, la responsabilité oblige à répondre de ses faits juridiques. Elle comprend une aptitude à la transgression des limites ponctuellement admises par la liberté, et une aptitude à subir la sanction que la loi y attache. L’existence de la personnalité juridique se manifeste sous deux formes que sont la personnalité physique et la personnalité morale. L’une a pour socle un être humain né vivant et viable – encore que cette dernière exigence soit critiquable –, et l’autre, une activité humaine, généralement collective. Malgré cette importante différence, les conditions d’acquisition de la personnalité physique et de la personnalité morale peuvent être exprimées en des termes génériques. En revanche, l’extinction de la personnalité juridique est bien le théâtre de difficultés propres aux personnes physiques et surtout, aux personnes morales, comme l’illustre l’arrêt du 25 novembre 2020 par lequel la chambre criminelle de la Cour de cassation a admis que la fusion-absorption entraîne la continuation de l’existence et de la responsabilité pénale de la personne morale absorbée au sein de la personne morale absorbante. La personnalité juridique accuse une triple unité : matérielle d’abord, en ce qu’elle est aussi bien pénale que civile ; générique ensuite, à raison du fait que les personnes physiques et les personnes morales répondent aux mêmes conditions existentielles et disposent des mêmes aptitudes ; constitutive, enfin, car la liberté et la responsabilité, attributs de la personnalité juridique, sont indissociables, de sorte que des personnes incomplètes ne sauraient exister.
N° d'édition : 1
Collection : Nouvelle Bibliothèque de Thèses
Parution : Avril 2025
Le procès et le changement climatique. Volume 244
Le procès et le changement climatique. Volume 244
Laura Canali
De la confrontation du procès et du changement climatique émerge une analyse féconde à une époque où les actions en justice relatives aux causes ou aux effets du changement climatique se multiplient en France ainsi qu'à l'étranger. Au-delà de l'actualité de son objet, une étude relative au procès climatique possède le double intérêt d'étudier les règles de droit formel qui règlent l'organisation et la procédure des tribunaux ainsi que les règles de droit matériel qui déterminent le contenu des solutions juridictionnelles retenues par les juges. Façonné par sa dimension collective, transnationale, transgénérationnelle, technique, le litige climatique peut être qualifié de complexe tant en raison des problématiques juridiques qu'il soulève que dans les réponses qu'il implique. Ces éléments conduisent à s'interroger sur la capacité du droit du procès à réceptionner cette catégorie de litige, ainsi qu'à l'aptitude du juge de trancher le litige climatique en disant le droit. L'apparition de tels litiges met en doute alors la capacité du procès à apporter des solutions à des questions juridiques inédites tant du point de vue du droit procédural que du droit matériel. Or, si les points d'achoppements s'avèrent nombreux, il existe un puissant espace de conciliation entre le procès et le changement climatique. Malgré la mise à l'épreuve du droit que soulève l'apparition de ce contentieux, l'étude entend démontrer que le procès est actuellement un puissant facteur de réalisation du droit du changement climatique car en disant le droit pour trancher le litige, le juge découvre le sens et les effets des normes juridiques qu'il applique.
N° d'édition : 1
Collection : Nouvelle Bibliothèque de Thèses
Parution : Avril 2025
Lobligation adjointe. Volume 250
Lobligation adjointe. Volume 250
Théo Visciano
Le Code civil prévoit deux modèles d'obligations au tout : il s'agit de l'obligation solidaire et de l'obligation indivisible. Ces dernières sont toujours conjointes, en ce sens qu'elles lient conjointement plusieurs sujets, ce qui implique qu'elles sont plurales. Si, dans ces cas de figure, la créance ou la dette ne se divise pas entre ses sujets, c'est parce que la solidarité et l'indivisibilité ont précisément pour effet d'y faire obstacle. Cependant, il existe des obligations au tout qui ne sont ni solidaires, ni indivisibles. Celles-ci sont notamment issues de sûretés personnelles (cautionnement, garantie autonome...) ou d'opérations juridiques à trois personnes (délégation simple, stipulation pour autrui, cession de créance à titre de paiement ou de garantie, nantissement de créance...). À ce jour leur existence n'est ni expliquée, ni justifiée. La présente thèse propose de les réunir dans une catégorie nouvelle : l'obligation adjointe. Cette dernière se définit comme une obligation affectée au dénouement d'une obligation fondamentale. L'obligation adjointe, dont la thèse s'attache à mettre en lumière le régime juridique, doit être distinguée de l'obligation conjointe. En effet, elle n'est pas une obligation plurale, dans la mesure où le sujet adjoint est partie à une obligation distincte de l'obligation fondamentale. La distinction ainsi proposée, obligation adjointe d'un côté, obligation conjointe de l'autre, permet une meilleure compréhension du droit positif.
N° d'édition : 1
Collection : Nouvelle Bibliothèque de Thèses
Parution : Avril 2025
Les directions des affaires juridiques des ministères. Volume 245
Les directions des affaires juridiques des ministères. Volume 245
Louise Fort
Chaque ministère dispose d’une direction des affaires juridiques. Ces directions conseillent les ministres et leurs services, assurent la défense de l’État devant les juridictions et participent à l’élaboration des projets de textes législatifs et réglementaires, en concourant à l’objectif de qualité du droit. Par leurs attributions, les directions des affaires juridiques se trouvent donc au cœur de l’action administrative et apportent une expertise indispensable à sa mise en œuvre. Pourtant, leur apparition est récente à l’échelle de l’histoire des administrations ministérielles. Le mouvement de création des directions des affaires juridiques n’est intervenu qu’à partir du milieu des années 1990. Cette réforme institutionnelle, en apparence anodine, reflète une mutation profonde du rapport de l’administration au droit, dont il convient de mesurer les causes et les conséquences. L’institution des directions des affaires juridiques résulte d’une réflexion inédite de l’administration d’État sur les conditions de l’élaboration du droit et de la défense de ses intérêts devant les tribunaux. Survenue en réaction aux conséquences du développement d’un modèle administratif managérial, cette réorganisation traduit l’ambition de revaloriser la place de l’expertise juridique au sein des administrations centrales. Après avoir replacé le mouvement de création des directions des affaires juridiques sur le temps long, cette recherche examine la façon dont elles sont effectivement intégrées au travail ministériel. Les directions des affaires juridiques révèlent ainsi beaucoup de l’activité juridique de l’État et des rapports entre le savoir juridique et l’action administrative. Cette étude institutionnelle permet de mettre au jour un aspect méconnu de l’organisation du travail gouvernemental.
N° d'édition : 1
Collection : Nouvelle Bibliothèque de Thèses
Parution : Avril 2025
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